Salon du château de Beaufort

hj : On va pas refaire la scène où Isabelle fait l'amoureuse avec Beaufort. On fait direct à l'arrivée d'Isabelle Le Vent.

*Isabelle Largent, la soeur jumelle d'Isabelle Le Vent venait de laisser une lettre au Duc comme quoi jamais elle ne l'avait aimé. Elle haissait le Duc et n'acceptait pas l'idée que lui et sa soeur s'aiment. Isabelle arrive de la chambre d'amis où elle a déposé ses affaires. Elle trouve François baignant dans son sang, l'épaule tranchée par sa propre épée. Elle s'agenouille à ses côtés*

- François...

*Dans la panique elle s'aperçoit de la présence de l'épée à côté d'elle, elle la lance devant elle mais malheureusement elle balafre le ventre de son bien-aimé. Désolée elle pose sa tête contre son front*

- François, ne me laisse pas, je t'aime...

*Elle ne lui avait jamais dit ses sentiments et s'était contentée d'une simple amitié, ignorant que lui aussi l'aimait depuis leur rencontre durant la Fronde. Elle croyait l'avoir tué et pleurait toutes ses larmes*

* Reprends ses esprit voit Isabelle en larme la repousse
* Comment ose tu???

*revient à la charge*

*caresse sa joue, les mains tremblantes*

- François, mon ange...

" Ne me touches pas tu as briser ma vie avec la lettre que tu m'as laisser va retrouver se bourgeois et laisse moi tranquille

*le regarde*

- Mais qu'est-ce que tu racontes mon ange ? Quel bourgeois ?

* Lui Flanque la lettre par terre
" Cette lettre c'est toi qui me la laisser toi qui m'as mis cette poudre pour essayer de me suicider pour que tu n'es pas à souffrir, de la relation que tu as avec ce bourgeois et encore plus de me faire souffrir en me disant que ses enfant que tu porte ne sont pas de moi et de lui moi qui t'aimais du plus profond de mon coeur comment peut tu me faire une chose pareil

*a les larmes aux yeux*

- Mais François...

*lit la lettre*

- Ce n'est pas mon écriture regarde...

*écrit les mêmes phrases à côté*

* Voit que ce n'est pas la même écriture
" Comment à t'elle oser se faire passer pour toi
* Se lève, mais existe son épaule
* Retombe

*le regarde*

- Attends je vais t'aider.

*le fait asseoir*

*l'adosse au canapé*

*se met face à lui*

*lui tend la main*

* Retrouve la vrai Isabelle
" Celle qui aimait pour de vrai
* Se sent triste de lui avoir crier dessus, mais il c'est mutiler à cause d'une fille qui n'avais rien à voir

*le prend tendrement dans ses bras et le berce*

- C'est fini mon coeur, c'est fini...

*pose sa main dans sa nuque*

" La je sais que c'est toi, je suis sur
* Lui sourit

*l'embrasse dans le cou*

- Je dois me faire pardonner, dans la panique j'ai balancé ton épée et j'ai vu que ça avait touché ton ventre...

*le regarde désolée*

" C'est pas de ta faute, mais je ne vais pas rester ici à ne rien faire faut que je retrouve celle qui s'est faite passer pour toi

*caresse sa joue*

- C'est ma jumelle...

*caresse son cou*

*ne veut pas tout lui dire pour le moment*

" Quoi mais pourquoi à t'elle fais sa et pourquoi vouloir me tuer

*désolée de lui dire*

- Elle ne t'aime pas... Et elle ne souhaite pas nous voir ensemble...

*le fait s'asseoir*

- Ne t'occupe pas d'elle, moi je t'aime et je vis pour toi...

" Mais c'est elle quelque chose à nous a tous les deux qu'elle vienne le dire, mais quelle ne tente pas de me suicider

- C'est une faible François, rien de plus...

*l'approche d'elle*

*l'embrasse tendrement*

- Tu me permets de te soigner ?

" Oui je te le permet, parceque cette fois si je sais que je'ai la vraie femme que j'aime en face de moi

- Mon amour, moi aussi je t'aime.

*caresse sa joue tendrement*

*va chercher quelques petites choses dans la pharmacie*

- Je vais pas te faire mal ne te fais pas de souci...

*déboutonne doucement les boutons de sa veste*

*lui retire doucement en prenant soin de ne pas effleurer sa blessure*

" J'aurais du m'en douter qui y'avait anguille sous roche, l'autre Isabelle ne s'u prenais pas aussi doucement que toi
* Lui sourit

- C'est pourtant si naturelle avec toi...

*le regarde*

*se lève*

*prend sa pince*

*lui attache les cheveux en arrière*

- J'ai hâte que tu sois rétablis pour te serrer dans mes bras...

*caresse sa tête*

*revient s'asseoir*

*déboutonne doucement sa chemise*

- Pourquoi tu es toujours habillé en noir ? Ca me fascine...

" Afin de mélé aux frondeurs plus facilements
* Lui sourit
" Mais je tient à te dire que le cardinal, si il ne rétabli pas l'ordre
* Sort sa fiole de poison

- Arrête de mettre ta vie en danger je t'en supplie... Je ne supporterais pas que tu... enfin... tu vois ce que je veux dire...

*lui retire tendrement sa chemise*

- Allonges-toi s'il te plait...